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mardi 4 octobre 2011

SOCIÉTÉS SECRÈTES; LISTE

Les Skull and Bones est l'une des créature de Londres
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La Round Table La "Round Table" vit le jour le 5 février 1881 grâce à Cecil Rhodes en Angleterre. Son but était de renforcer les tentacules britanniques partout dans le monde. Ses membres fondateurs furent, entre autres, Stead, Lord Esher, Lord Alfred Milner, Lord Rothschild , Lord Arthur Balfour. La structure de ce groupe était comme celle des SS d'Hitler, calquée sur la société de Jésus, l'ordre des Jésuites. Son but principal était d'élargir la domination britannique et l'utilisation de la langue anglaise dans le monde entier.

C'est pourquoi House rencontra les membres de l'organisation secrète britannique "THE ROUND TABLE" en 1919. Il était devenu évident que pour atteindre son but, la Couronne de Londres via ses Illuminati devait étendre son réseau. Le RIIA une fois créé en Angleterre, la royauté prit la décision de créer aussi aux Etats-Unis une organisation de front. Pendant la conférence de la "paix" ( ! ) à Paris en 1919, le colonel House, hôte alors du groupe de la "ROUND TABLE" de la Couronne Britannique, rassembla les esprits les plus éclairés du "Brain Trust" de Wilson pour former un groupe qui aurait à s'occuper des affaires internationales.

Ce groupe quitta alors Paris pour revenir à New York et devint en 1921 le "COUNCIL ON FOREIGN RELATIONS" (CFR). Le CFR est constitué d'Américains et comme le RIIA, son noyau central est le groupe de la "ROUND TABLE". Le CFR et la "COMMISSION TRILATERALE" sont, aujourd'hui, tout en restant dans l'ombre, les organisations les plus influentes aux Etats-Unis. De même, le CFR et le groupe de la "ROUND TABLE" tirent les ficelles de la "J.P. Morgan & Co.Bank". Il n'est donc pas étonnant que J.P. Morgan lui-même ait joué un rôle important à la fondation.

Le "cercle le plus intime" du CFR est l'ordre "SKULL & BONES".
Parce que les sociétés secrètes (en majorité créées par les rois et reines de Londres) avancent masquées, elles inquiètent toujours. Ce qui ne les a nullement empêchés de créer une multitude de filiales et de sous-filiales sous toutes les latitudes du globe ; à toutes les altitudes de la Société ; avec toutes ses attitudes et ses habitudes les plus détestables. Chacune a un rôle précis à jouer. Parfois, s’il est apparemment croisé c’est pour mieux en augmenter l’efficacité en trompant l’ennemi. Cette technique permet d’avoir toujours un pied dans le camp du gagnant mais aussi du perdant. L’un compense l’autre. Cette tactique se révèle parfois coûteuse et l’exemple de la Choah nous le démontre. C’est pourquoi les gagnants seront, un jour, condamnés à rembourser au prix fort. Mais pour l’instant le catalogue des sociétés secrètes, des clubs, des associations, des loges concernées est très long, peut être trop. Nous ne citerons donc que les plus importants, les plus imposants ou les plus méprisants du droit des hommes et des peuples.

L'Angleterre divisa le monde en quatre (4) INTERNATIONALES :

The Round Table : Angleterre, Afrique du sud, Australie, Nouvelle-Zélande, Indes, États-Unis et le Canada.

La Synarchie : L'Union Européenne et ses satellites

La Société du Grand Dragon Rouge : Chine, Indochine et U.R.S.S., cette dernière pourrait être ramenée en son temps dans la Synarchie.

Propaganda 2 (P2) : Italie, Amérique centrale, Amérique du sud



Le Council on Foreign Relations (C.F.R) : Il a été créé sur l’initiative de Londres via l’ineffable Colonel House lors des déjeuners du 19 et du 30 mai 1919 à Paris. …Il est une émanation de la Table Ronde de Londres, elle-même issue de la société Rhodes-Stead et poursuit dans le sillage de Ruskin, l’institution d’un régime socialiste «tel que rêvé par Marx» pour parvenir à l’instauration du Gouvernement Mondial (Jacques Bordiot dans «Une main cachée dirige», Edition du Trident, 1992, chapitre XI, page 133). …Les statuts du C.F.R furent déposés en 1921. Officiellement …il s’y présentait comme un groupe d’étude dont l’objet était d’assurer un dialogue permanent sur les questions internationales intéressant les Etats Unis, en réunissant des spécialistes en diplomatie, finance, industrie, enseignement et sciences… Malgré l’appui de groupe Morgan et l’affiliation d’importantes personnalités, le C.F.R. ne fit guère preuve d’activité jusqu’à ce que, en 1927, les Rockfeller aient commencé à lui porter intérêt. Ce sont eux, en particulier, qui financèrent l’achat du siège du C.F.R. en 1929 : The Harold Pratt House, 58 East 68 th Street, New-York City. Les fondations Carnegie, puis la Fondation Ford apportèrent leur contribution. Et bientôt on retrouvait parmi les affiliés au C.F.R… tous ceux qui avaient… travaillé à l’institution du Fédéral Réserve Système, soutenu l’intervention des Etats Unis dans la Grande Guerre, le Sionisme et la révolution Russe (dont Jacob Schiff, les Warburg, Baruch, Morgan, Rockfeller). En fait le Council on Foreign Relation est un groupement restreint …mais tous ces membres occupent des situations importantes dans le gouvernement, la politique, les affaires, la finance, l’enseignement, la presse écrite et parlée, la télévision, etc. Jusque là rien d’anormal puisque c’est la stratégie habituelle de pénétration et d’occupation du terrain propre à toutes les sociétés secrètes. Sauf que … Dans le numéro du I° septembre 1961, le Christian Science Monitor, n’hésitait pas à déclarer «le Council on Foreign Relation, probablement une des organisations semi-publiques les plus influentes, dans le domaine de la politique étrangère». Jacques Bordiot en veut pour preuve, page 136, le fait qu’aient été membres du C.F.R :
1) Cinq présidents des Etats Unis, dont trois Républicains, Herbert C. Hoover, le général Dwight (Ike) Eisenhower, Richard Nixon, et deux démocrates, Franklin D. Roosvelt et John Kennedy (toujours le même souci d’avoir un pied dans chaque camp surtout en période de tensions, de révolutions ou de guerres).
2) Une vingtaine d’anciens ministres dont …John Foster Dulles, Clarence Douglas Dillon (de son vrai nom Lapowski, israélite d’origine polonaise), (mais pourquoi éprouvent-ils toujours le besoin de se cacher ?) Robert Strange Mc Namara, président de la banque mondiale en 1968 (!) Dean Rusk, le général Gorge Marshall, Averel Harriman et Arthur Goldberg, nommé juge à la Cour Suprême par le président Kennedy en 1962, où il succéda à Felix Frankfurter…
3) Au moins soixante dix membres de l’Administration Nixon dont «l’éminence grise de la Maison Blanche, Henry Kissinger, membre appointé dans l’équipe dirigeante du C.F.R. Il est né en Bavière, à Fuerth, le 27 mai 1923, de parents israélites, émigrés aux Etats Unis en 1938 et naturalisé cinq ans plus tard. Il réussira le tour de force d’être resté sans interruption le conseiller de cinq présidents.
On touche ici du doigt l’éclectisme du C.F.R qui lui permet de compter des affiliés parmi les personnalités des deux grands partis politiques des Etats Unis et donc d’avoir toujours des représentants dans le gouvernement, voire à la Maison Blanche. Et si cela se passait de la même manière dans tous les pays sous influence ? …Parlant des membres du C.F.R qu’il appelait les «Synarques de Manhattan»… M. Pierre de Villemarest écrivait en 1970, dans Valeurs Actuelles du 24 août 1970, que «Depuis la fondation du C.F.R en 1919, ils n’ont cessé de peser de façon occulte sur la politique des Etats Unis». …C’était exact jusqu’alors. Mais avec la nomination de Henry Kissinger …le 23 août 1973, la politique du Council On Foreign Relation est devenue la politique officielle des Etats Unis. …Que la présence de Henry Kissinger ait été imposée à M. Nixon par le C.F.R, cela ressort de fait que depuis cinquante ans, ce club «privé» a pour règle de placer ses hommes dans les rouages gouvernementaux, quel que soit le président (Pierre de Villemarest).
Pour couronner le tout …Dans le numéro du 20 mars 1974 de l’hebdomadaire américain The Rewiew of the News, M. Franck A. Capell écrit que : «Une autorité bien informée sur les Services de Renseignement soviétique affirme que le Secrétaire d’Etat Henry Kissinger a été un agent soviétique et que son appartenance à ces services de Renseignement soviétique avait été portée à la connaissance des bureaux de notre gouvernement avant même qu’il ne parvienne à sa haute position». «L’autorité bien informée» serait un transfuge de l’Est ayant eu le rang de général dans une des principales organisations de Renseignement soviétique. C’est à ce personnage qu’on devrait d’avoir démasqué des agents et des espions soviétiques importants en Grande Bretagne, en Allemagne fédérale, au Danemark, en Suède et en Israël. En 1973, le transfuge rappelait au Federal Bureau of Investigation américain et au British Security Service que, en 1961-1962, il avait fourni des informations prouvant que M. Kissinger avait eu des contacts directs avec le K.G.B soviétique pendant son temps de service en Allemagne dans les troupes d’occupation, alors qu’il appartenait comme «enquêteur» au Service du Contre-espionnage américain (« M. Henry Kissinger et le K.G.B» dans Lectures Française, juillet / août 1974 et cité par Jacques Bordiot, page 139, note 5). Le secret servirait-il à mieux trahir ? En dehors des tendances gauchisantes voire marxisantes des sociétés secrètes, auraient-elles quelque chose d’autre à nous cacher ?
De plus, il nous faut observer que le C.F.R a mis au monde quantité d’organisations satellites fort intéressantes. En effet …Outre la «coopération avec le gouvernement des Etats Unis» - coopération qui ressemble fort à une prise en main – on reconnaît une vingtaine d’associations sur lesquelles il exerce une influence manifeste… Ces organisations présentent des caractères communs qui dénotent une activité concertée …même objet ; même source de financement ; chevauchement des membres entre elles ; et surtout présence à leur tête de dirigeants du C.F.R. Toutes ont aussi en commun le dépôt de statuts constitutifs déclarant l’association comme groupement d’études et de recherches sans but lucratif. …Au vrai, les statuts officiels ont pour objet d’attirer dans le Comité directeur des personnalités éminentes notoirement apolitiques, voire affichant une idéologie opposée aux objectifs réels, pour servir de paravent à l’action occulte de l’organisation conforme aux directives du C.F.R. …Cette toile d’araignée tendue sur les Etats Unis permet …de faire pression sur le gouvernement et sur le Congrès, avec répercussion sur le monde entier (Jacques Bordiot, page 142).

Les satellites, d’après Jacques Bordiot dans «Une main cachée dirige», page 142 et suivantes, seraient :
- Institute of Pacific Relation (I.R.P. ou Institut pour les Affaires du Pacifique). …Il est le «satellite» du C.F.R. C’est lui qui a rendu publics les agissements de toutes les organisations qui découlent de la société Rhodes-Stead. Il fut fondé en 1925 pour l’étude des problèmes politiques intéressant les Etats bordant l’Océan Pacifique. Au début de 1945, une des revues qu’il patronnait, Amerasia, publiait un long article dans lequel l’Office of Strategic services (O.S.S) reconnut la production presque mot pour mot d’un document officiel classé «top secret». Une perquisition aux bureaux de la revue permit la saisie de 1.800 documents soustraits aux archives secrètes de plusieurs services gouvernementaux, Affaires Etrangères, Armée, Marine. Parmi ces documents figuraient des rapports ultra secrets… Les investigations d’une sous commission sénatoriale de la Sécurité intérieure de l’Etat, dite «commission Mc Carran» permit d’identifier de nombreux communistes parmi les membres de l’I.R.P et même des agents soviétiques. …Parmi les membres de l’I.R.P qui donnèrent lieu à une enquête, figuraient dix sept personnes attachées au Département d’Etat, dont onze appartenaient au C.F.R. Outre des fonctionnaires, on trouvait aussi des professeurs d’universités, des diplomates, des militaires, des présidents de sociétés multinationales, des ministres. Rien de moins ! …Les poursuites contre l’I.R.P ont nettement démontré 1°) La collusion entre l’I.R.P et le C.F.R. 2°) La tendance pro-communiste de ces deux organisations, que confirme d’ailleurs le haut «Initié» Dr Carroll Quigley. 3°) Le noyautage du Département d’Etat par des éléments pro-communistes, voire par des agents de l’U.R.S.S. (à l’époque puissance étrangère hostile). En mars 1961, il s'est sabordé et malgré cela son influence aurait persisté jusqu’en 1971, au moins.

Foreign Policy Association (F.P.A) ou Association de politique Etrangère). En 1918, les gauches socialistes, pacifistes et internationales fondèrent la League of Free Nations (Ligue des Nations Libres) qui, en 1921, devint la Foreign Policy Association, déclarée en 1928 comme organisation éducative apolitique, ayant pour but l’étude des problèmes internationaux. …Pour élargir son audience, la F.P.A a constitué des World Affairs Councils (W.A.C – Comités des Affaires Mondiales) dans toutes les villes des Etats Unis. En 1960, les deux organisations ont fusionné. En 1955, la F.P.A crée les …Greats Decisions, qui comportent chaque année un programme d’études et de débats… pour traiter «huit problèmes critiques de politique étrangère… Or, le 29 avril 1960, sur plainte de l’American Legion, le Grand Jury du Comité de Fulton (Géorgie) condamnait le caractère subversif des documents fournis aux établissements secondaires… Il n’en reste pas moins que la F.P.A-W.A.C demeure la plus puissante organisation qui gravite autour du Council on Foreign Relation… On en veut pour preuve que dans la constitution de son Bureau, en 1962, figurent les initiés du C.F.R… Cette mainmise du C.F.R sur la F.P.A, un membre du congrès, Louis T. McFadden, l’expliquait dés 1934, en affirmant que Félix Frankfurter et Paul Warburg, tous deux membres de la Table Ronde, ont présidé à la fondation de la F.P.A pour favoriser l’institution aux Etats Unis d’une économie planifiée et l’intégration de système américain dans un système socialiste Mondial. Décidément le lobby Mondialiste qui est avant tout juif mais aussi socialiste de la façon soviétique !
Business Advisory Council (B.A.C – Comité Consultatif pour les Affaires). Il fut crée le 26 juin 1933 par M. Daniel C. Roper, ministre du commerce, peu après l’arrivée à la Maison Blanche du Président Franklin Roosvelt. Il avait l’intention de réunir d’importants hommes d’affaires comme conseillers officieux du gouvernement en vue de soutenir la politique du New Deal, qui tendait à sortir les Etats Unis de la grande crise économique et financière, volontairement déclenchée, le 24 octobre 1929, par la Federal Reserve et la Haute Finance internationale. Monsieur Sidney J. Weinberg, principal associé de la Banque Goldman, Sachs & Co, fut chargé de l’organisation de B.A.C. …Or le ministre Roper ne tarda pas à s’apercevoir que le B.A.C en vint à proposer des solutions socialisantes peu en rapport avec les intentions du gouvernement… Il finit par s’en désintéresser complètement. Mais la II° guerre mondiale obligea les Etats Unis à réviser leur position au profit du B.A.C. Ainsi …épaulé par les puissances économiques et financières de son organisation, Sidney Weinberg parvint facilement à imposer la politique du B.A.C. Enfin …le 10 juillet 1961, le B.A.C modifia son appellation en Business Council, sans changer son activité… Dans son numéro de janvier 1970, la Dun’s Review écrit que «Dans les rangs de Business Council figurent 160 des plus puissants hommes d’affaires américains» …On peut en déduire que l’organisation regroupe la plus grande puissance économique et financière du monde… Or sur un total de 120 membres actifs et sociétaires… le tiers, d’après M. Dan Smoot, appartient au Council on Foreign Relation ? Ce qui permet à M. Francis X. Gannon d’affirmer que «le Business Council est en fait l’intermédiaire par lequel le C.F.R impose son autorité sur le gouvernement fédéral».
Committee for Economic Development (C.E.D – Comité pour le Développement Economique). Il n’est autre qu’une annexe du Business Council. Il comptait parmi ses membres fondateurs, huit membres du Council on Foreign Relation.
Advertising Council (Comité de la Publicité). Constitué en 1941, au capital initial de cinq millions de dollars, par un publicitaire, un professeur de faculté et trois dirigeants de la Rockfeller Foundation… En 1945, il s’est donné le droit de sélectionner les publicités qui, représentant un intérêt national, pourraient bénéficier d’une diffusion gratuite dans les médias. Le choix est effectué par un Public Policy Committee (Comité d’Intérêts Public) de 20 membres dont, le 23 juin 1958, huit au moins étaient affiliés au Council on Foreign Relation…
American Civil Liberties Union (A.C.L.U – Union Américaine pour les Libertés Civiles). Elle fut animée par Roger Baldwin, membre d’une invraisemblable quantité d’associations antimilitaristes, pacifistes, communistes, voire anarchistes. …Le premier bureau se composait, en juillet 1919, de dix-sept membres, parmi lesquels Felix Frankfurter, de la Table Ronde. …En 1943, le Comité Législatif de Californie a déclaré formellement que «l’American Civil Liberties Union peut être définitivement classée comme organisation communiste ou une courroie de transmission communiste». … En 1952 on y comptait huit affiliés au C.F.R…
American for Democratic Action (A.D.A - Les Américains pour le Combat Démocratique) fondée en 1941 …par un groupe de communistes ou de pro-communistes, dont son président Reinhold Niebuhe, membre du C.F.R et son animateur Louis Fraina, président du premier Congrès Communiste de l’Amérique du Nord, tenu à Chicago en septembre 1919. Elle changera son nom par la suite pour devenir …l’Union for Democratic Action. …Le bureau de l’A.D.A constitué en 1946, comportait une majorité d’affiliés au C.F.R dont les journalistes Marquis Childs, de l’United Feature Syndicate et Chester Bowles adjoint au Secrétaire général de l’O.N.U. et futur ministre, les professeurs John K. Galbraith de Harvard et Arthur M. Schlesinger Jr de Harvard et New-York, les politiciens H. Humphrey vice-président des Etats Unis, Jacob K. Javits et Thomas K. Finletter, tous deux sénateurs…
Institute for American Democracy (Institut pour la Démocratie Américaine). Prétendument fondée le 18 novembre 1966… Sur 23 membres, dix au moins étaient des affiliés au C.F.R et appartenaient à ses satellites. …En fait une enquête menée par la Church League of America (Ligue des Eglises d’Amérique) prouva que l’Institut avait déposé ses statuts le 27 juin 1944. En outre l’Attorney Général de New-York, Jacob Javits (C.F.R et membre d’Americans for Democracy Action) avait signalé dans un rapport officiel que l’Institute for American Democracy était une section de l’Anti Defamation League, organisation judéo-communisante des B’naï B’rith, la Franc Maçonnerie juive…
Common Cause (La Cause Commune) – Fondée en 1970, elle regroupe …les classes peu fortunées, les étudiants et les jeunes de banlieue en vue de «secouer l’emprise de l’Establishment». …Son fondateur, John W. Gardner (C.F.R) est un ancien président de la Carnegie Corporation et ministre du président Jonhson. De plus, le notoirement progressiste Washington Post, du 23 août 1971, publiait …une liste des principaux donateurs… dont …Les Rockfeller, Ford Motor Co, les dirigeants des fondations Carnegie, les chefs d’entreprises, les banques d’affaires, les grands patrons des maisons d’édition, y compris Time Inc. Y figuraient aussi …Plusieurs membres de Council on Foreign Relation, qui se compose de nombreux intellectuels de l’Est et de chefs d’entreprises. …Parmi les donateurs on retrouve aussi J. Richardson Dilworth de la Chase Manhattan Bank, Sol Linowitz de Xerox, Thomas Watson d’I.B.M, etc.
Comme nous pouvons nous en douter, tout ce qui se passe aux Etats Unis n’est pas sans répercussion sur l’ensemble du monde. En outre, il faut savoir qu’il existe aussi d’autres organisations dont les territoires de prédilection ne sont pas forcément le continent Nord, Centre ou Sud Américain. Les terrains de chasse, qu’ils se partagent, peuvent tout autant être en Afrique, en Asie, en Europe ou dans l’ensemble des pays de l’ancienne Union des Républiques Socialiste Soviétique et de ses satellites. Mais, comme le dit Jacques Bordiot, page 150, …Autant on possède des informations sur le Council on Foreign Relation, autant son homologue britannique, le Royal Institute of International Affairs (R.I.I.A) est demeuré dans l’ombre. On sait qu’au Canada ; le noyau R.I.I.A fut formé d’étudiants d’Oxford amis de Milner comme Arthur Glazebrook et George Parkin. En revanche …se furent les anciens membres de Milner’s Kindergaten qui formèrent le noyau de l’Afrique du Sud avec (Sir) Patrick Duncan, B.K Long, Richard Feetham et (Sir) Dougal Malcom, et celui des Indes avec (Sir) William Marris, James (Lord) Meston et Malcom (Lord) Hailey. En Australie et en Nouvelle Zélande, ce furent des personnalités recrutées par Stead, Parkin et Lionel Curtis. Mais leur activité n’est guère connue…
…Ceci proviendrait, d’après certains, du fait que, faisant double emploi avec la Table Ronde, il aurait été absorbé par l’Institute of Pacific Relations. …Il se peut aussi, que la transformation de l’Empire Britannique en Commonwealth… ait fait passer le R.I.I.A de ces pays dans l’orbite du Council on Foreign Relation sous l’influence de l’Institute of Pacific. …Toutefois comme le note Pierre Hofstetter, on est frappé par l’étrange similitude de certaines pratiques gouvernementales à Londres et à Washington… ou dans d’autres pays malgré un changement de majorité. …Tel est le cas de l’israélite Lord Arnold Goodman, conseiller du gouvernement travailliste de Harold Wilson, qui a été confirmé à son poste par le gouvernement conservateur de M. Edward Heath. Le 26 février 1967, le Sunday Times écrivait à son propos «Aucun autre homme de Grande Bretagne ne possède autant d’influence en étant aussi peu connu». …Or précise M. Hofstetter, le «cas» Goodman n’est pas unique. Il en a été de même de Sir Solly Zuckerman, de Nicolas Kaldor et de Thomas Balog, israélites eux aussi (Pierre Hofstetter – «L’Angleterre a-t-elle aussi son pouvoir occulte ? » in Lecture Française, octobre 1971 et cité par Jacques Bordiot, page 151, note 15.
…Mais c’est surtout le cas de Nathaniel Mayer Victor Lord Rothschild, troisième baron et chef de la branche anglaise… qui fut …placé «à la tête d’un groupe d’experts… chargés de «superviser» les plans politiques et les programmes de dépenses publiques…». Le Daily Telegraph du 24 mai 1971 a noté que «l’équipe d’experts chargés de revoir la politique centrale du Cabinet reste, plus que jamais, un grand mystère. …Coïncidence au moins curieuse : Lord Rothschild, second baron du nom et père de Nathaniel Mayer Victor, a participé à la fondation de la société Rhodes-Stead, dont descend la Table Ronde…
Il ne faut pas croire pour autant que seul les Anglo-saxons soient passés maître dans l’art de créer des sociétés secrètes et occultes qui se camouflent derrière de vraies fausses bonnes intentions comme : le Tiers mondisme, le Marxisme, le Socialisme, le Collectivisme, le misérabilisme, le racisme, le pacifisme, le féminisme, l’humanitarisme, l’écologisme, etc. Car dans le même temps toutes ces bonnes âmes anti esclavagistes provoquent la nouvelle pauvreté, inventent le RMI et multiplie les S.D.F ; ces anti colonialistes poussent au déracinement et à l’émigration ; ces «libéraux» adorent le dirigisme et les monopoles ; ces libertaires sont devenus liberticides et préfèrent la soumission. En fait, leur credo se réduit à vouloir transformer l’humanité, libre et riche de ses différences, en planète soumise à la race des «élus» et des «initiés». L’Europe n’est d’ailleurs pas en reste pour participer à la réalisation du plan Mondialiste. Pour en avoir la preuve, il n’y a qu’a lire Jacques Bordiot, page 218 et suivantes :
Le Bilderberg Group : …La constitution du Bilderberg Group a été imaginée par un étrange aventurier d’origine polonaise, Joseph Retinger, né à Cracovie en 1887 ou 1888, d’une famille israélite fortunée. …Vers 1913, Retinger appartenait à la Franc-Maçonnerie suédoise où il avait un haut grade, ce qui facilita sans doute ses relations avec le Frère House, de la Maçonnerie Illuministe et Synarchique des «Masters of Wisdom» «Maîtres de la Sagesse), fondateur du Council on Foreign Relation et membre de la Table Ronde. Il a été prouvé que Retinger était agent secret du gouvernement Polonais au moins depuis 1913 et qu’il le demeura jusqu’à sa mort en 1960. On le trouve mêlé à un nombre invraisemblable de «grenouillages». Tant et si bien qu’il se fait expulser d’Angleterre et de France. Nous le retrouverons en Espagne puis à Mexico pour enfin se faire incarcérer à Washington. Dés 1946 …Retinger était en liaison avec deux politiciens belges, MM Paul-Henri Spaak et Paul van Zeeland, qui appartenaient au Mouvement Européen, ayant pour objet la constitution d’une Europe Unie. En 1947, Retinger est à Paris comme correspondant de l’Association Internationale pour l’Unité Européenne, présidée par van Zeeland ; association dans laquelle s’étaient infiltrés trois agents soviétiques, Udeanu, alias Dolivet, de son vrai nom Ludwig Brecher et deux belges, Aceer et Ennals, chargés de la manipuler. En 1948, Retinger organisait à La Haye un Congrès de l’Europe, auquel participa le Conseil pour une Europe Unie, fondée en 1946 par MM Jean Monnet et Robert Schuman. Tel est le promoteur de Bilderberg Group…
La mise sur pied de cette organisation revient à Son Altesse Royale le prince Bernhard des Pays Bas, richissime actionnaire de la Royal Dutch Petroleum et de la Société Générale de Belgique, la plus importante banque belge, liée aux Rothschild Frères par des intérêts multiples. …En mai 1954, le prince Bernhard réunissait à Oosterbeek, dans les salons de l'hôtel du Bilderberg - d’où le nom du Groupe – une centaine de personnalités de nationalités diverses, appartenant aux milieux politiques, aux organismes internationaux, à la Haute Finance, aux entreprises multinationales, aux universités, à la presse, etc. pour la constitution d’une assemblée destinée à construire l’unité occidentale contre l’expansion soviétique. Le Bilderberg Group était né, dont les membres furent les Bilderbergers…
Le Groupe se réunit environ deux fois par an, en des lieux différents, toujours discrets (décidément l’esprit démocratique souffle aussi sur les Européens !). On voit figurer plus ou moins sporadiquement à ces réunions des membres des familles régnantes, comme le prince Axel de Danemark, le prince Klaus des Pays-Bas, le duc d’Edimbourg ou Lord Mounbatten. …Mais les vrais maîtres du groupement sont : les Rockfeller, Kuhn, Loeb & Co, Carnegie, Ford, les Warburg américains, britanniques et allemands, les Rothschild d’Angleterre et de France, les Otto Wolf. Par exemple, à la conférence d’avril 1965, qui s’est tenue à la Villa d’Este (Italie), une des rares sur lesquelles on ait pu obtenir des renseignements assez précis, on comptait 387 participants en provenance de 17 pays : Allemagne fédérale, Autriche, Belgique, Canada, Danemark, Etats Unis, France, Grande Bretagne, Grèce, Italie, Norvège, Nouvelle Zélande, Pays-Bas, Portugal, Suède, Suisse et Turquie. La manie des sociétés secrètes anglo-américaine s’est franchement exportée ! Malgré tout …sur les 101 représentants des Etats Unis, 59 – soit plus de la moitié, étaient affiliés au Council on Foreign Relations. Tout ce que compte le monde de la Politique, des Affaires et de la Finance était présent y compris l’incontournable Henry Kissinger, à l’époque conseiller du président Nixon. Mais nous pouvons aussi ajouter que …Gorge W. Ball, président de la banque Lehman Brothers International et membre de l’Atlantic Union Committee, qui a pour objet la fusion politique entre les Etats Unis et l’Europe occidentale comme étape obligatoire vers le Gouvernement Mondial. Apparemment, certains ne doutent de rien et personne ne se doute de rien !
Quant aux délégations européennes : Italienne, Allemande, Belge, Néerlandaise, Française, elles n’ont rien à envier à celles de leurs collègues d’outre atlantique. Ici, dirigisme oblige, c’est aussi l’heure de la soupe. Le parterre se compose donc de fonctionnaires P.D.G d’entreprises nationalisées, d’une cohorte de politiciens et de tous ceux qui détiennent un quelconque fragment de pouvoir capable d’influencer une partie du monde des affaires ou des nations. Et …si le plus grand nombre de participants aux conférences sont bien des «Bilderbergers», il en est qui sont de simples invités occasionnels, soit en vue d’un recrutement éventuel, soit, parmi les plus notoires, à titre de répondants et servant de couverture. Parmi les français, Jacques Bordiot, page 222, nous livre les noms et les titres de gens de bonnes mœurs et apparemment aussi différents que : Jacques Baumel, Gaston Defferre, Roger Duchet, Maurice Faure, Olivier Guichard, Christian de La Malène, Jean Letourneau, Jean de Lipkowski, Guy Mollet, Antoine Pinay, René Pleven, Jean Monnet, Pierre-Henri Teitgen, Gorges Pompidou à l’époque Premier Ministre du Général De Gaulle, Henri Yrissou, Robert Schuman, Valéry Giscard d’Estaing, etc. D’autres trouvent plus pratique d’être commandités comme : Jean Lecanuet commandité par Wildenstein ; Jacques Duhamel, allié aux Mendés-France et aux Servan-Schreiber, soutenu par le baron Edmond de Rothschild ; Jean Monnet représente les intérêts britanniques (Lazard Brother & Co de Londres) et américains (J.P Morgan de New-York).









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